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Toute la vie son image
Un film réalisé en 1981 à l'occasion d'un camp organisé par la Fédération des Jeunesse Musicales de la Communauté Française de Belgique, consacré à "l'éveil à l'expression". Des enfants regardent. Ecoutent. Les visages s'illuminent. Image de l'enfant derrière la caméra. L'oeil qui cherche à voir, autrement. Le son d'un instrument, timide. On émerge du bruit de fond, ou du silence. L'image s'imprime, le mouvement naît, spontané. L'enfant, qui est prêt à tout, découvre le son : calebasse, sonnaille, arc en bouche, des instruments qui font rêver. L'enfant, qui est naïf, invente des images nouvelles: son image, images et sons. Qu'est-ce que la musique? Qu'est-ce que l'image animée? Comment m'exprimer, autrement, par mon corps, par l'organisation des images et des sons et des deux, ensembles? Pourquoi se taire, parfois, pour mieux entendre les autres? Tout cela peut s'apprendre, s'expérimenter librement, dans la joie. Et, si l'on cherche à sortir de sa prison, c'est pour occuper l'espace et le temps, sans limites. Dans une ambiance de recherche où l'imagination régnait, des équipes ont travaillé de concert à l'éveil musical, à l'aide de techniques audio-visuelles, théâtrales, graphiques, d'expressions corporelles. Grâce au concours d'animateurs et de groupes étrangers, dont le mime québécois Claude Saint Denis, et l'équipe de la Galerie Sonore des Jeunesses Musicale de Frances, ils se sont initiés aux langages audio-visuels, et ont manipulé des centaines d'instruments musicaux extra-européens, surtout de percussion. Michel Jakar a fait oeuvre de création en transportant par l'image et les couleurs l'émerveillement des enfants, leur attention et leur participation aux différentes techniques musicales et artistiques.
Face au public - Odeurs
Concert du groupe « Odeurs » à Sambreville en 1983. « Un régal pour les vraies oreilles et pour les fausses nasales » Groupe français, réunissant sous l'égide de Ramon Pipin le gratin des musiciens français, qui cultive la dérision et dont le créneau est notamment le rock parodique. Ils interprètent notamment : "Toujours plus haut", "Le cri du kangourou", "Dominique", "Youpi la France !".
Face au public - Jean Constantin
Récital de l'auteur, compositeur et interprète français Jean Constantin au Cabaret des Roches à Rochefort en 1984. Artiste de Cabaret par excellence, autodidacte, drôle et poétique, il a écrit des chansons qui sont devenues des standards et a également signé de nombreuses musiques de film. Lorsqu'il bondit à son piano, c'est pour enchaîner avec une vitalité débordante et l'oeil plein de malice, des avis qui ne se prennent jamais au sérieux' : "Mets deux thunes dans l'bastringue", "Le Pacha et ses pantoufles" ou "Ma gigolette". D'autres encore, qui ont fait le tour du monde: "Le Truc en plumes" de Zizi Jeanmaire, "Mon Manège à moi" chantée par Edith Piaf, mais qui va aussi comme un gant à Yves Montant, ou encore "Jolie Fleur de Papillon" qui fut un des grand succès d'Annie Cordy. C'est un artiste épanoui, au mieux de sa forme, un chanteur pittoresque qu'on aura l'occasion de découvrir. Pour rire en musique ! Jean Constantin est né en 1923 et décédé en 1997.
Face au public - Guy Cabay (1990)
Le 10 novembre 1989, Guy Cabay se produisait au Palais des Congrès de Liège dans le cadre du "Grand prix de la chanson wallonne". C'est sa prestation qui est diffusée ici. Guy Cabay est un chanteur wallon, vibraphoniste, musicien et professeur de jazz. On pourra l'entendre interpréter notamment: « Tot règèdé », « Olalakilèbe », « Satchmo », « Pôve tièsse », « Li Matoufêt », « Paroles d'amour » ainsi que plusieurs compositions de son répertoire de morceaux de jazz "Lemon Air". Guy Cabay est accompagné par André Charlier (drums), Benoît Vanderstaeten (basse), Phil Abraham (trombone), Benoît Sourisse (piano) et Yannick Robert (guitare).
Face au public - Jean Vallée
1981. En concert à Liège, Jean Vallée chante: "Je pars, je pars", "Amoureux encore une fois", "Le procès", "La vague", "Histoire de fous", "Pierrot et Colombine", "Noblesse oblige", "Le timide", "Paris Basilic", "Divine", "Noir ou blanc" (Les misérables), "Javert t'es amoureux" (Les misérables), "L'amour ça fait chanter la vie", "Un vieux singe dans un coin d'sa tête" et "Des mots simples".
Face au public - Paul Louka
1982. En concert au Centre Culturel d'Ottignies, Paul Louka chante: "Je suis venu", "Les promoteurs", "Adieu Louise", "Tante Sarah", "Victor", "Cerise", "Quelqu'un d'important", "Le voyageur", "Je ne suis personne", "L'orgue de Barbarie", "La barrique", "L'hôpital", "La femme à Jean", "Saragosse", "Je dis qu'il faut laisser", "Le petit Léon", "Je suis un enfant", "Marcinelle" et "Je reviendrai".
Face au public - Roland Magdane
1984. Spectacle de l'humoriste Roland Magdane, présenté par Georges Pradez, à l'occasion du 4ème festival international du rire de Rochefort. Il interprète notamment les sketches suivants: "Le défaut de prononciation", "Le petit Jésus", "Je suis suisse", "Le roi des fous", "De A à Z", "Le détective" ...
Faits divers - Bonjour Monsieur le Maître
Reportage réalisé en 1971. A 73 ans, un instituteur retraité retourne, pour quelques heures, à la petite école (l'école primaire n°9 d'Ixelles) où il a enseigné il y a un demi-siècle. Peu de choses ont changé: c'est le même bâtiment d'allure austère, les mêmes classes, la même cour; seul le mobilier a été remplacé. L'instituteur visite "son," école, bavarde avec les instituteurs actuels, et, le soir, dans la classe où il a travaillé, il revoit, pour la première fois depuis près de 40 ans, les survivants d'une classe qu'il a dirigé pendant les 6 années primaires, au cours des années 20. Ils ont 50 ans; certains d'entre eux ont "réussi": un chef d'orchestre, un architecte, un haut fonctionnaire, un commissaire de police ; d'autres n'ont pas grimpé aussi haut dans la hiérarchie sociale. On échange des souvenirs, on établit des bilans. Et puis, on se souvient de l'instituteur, qui a eu une grande influence sur leurs vies. Au passage, on s'interroge sur le rôle, la fonction, l'importance sociale des instituteurs.
Tableau noir et culottes courtes
Le tournage de "Tableau noir et culottes courtes" a duré toute une année scolaire : de septembre 1985 à juin 1986 dans une classe de première année primaire de l'école communale de Péville (Liège). Une équipe RTBF, toujours la même, présente dans la classe une fois par mois. Une équipe de reportage de 5 personnes que les enfants ont totalement acceptée, qu'ils ont "oubliée", ce qui a fait qu'ils ont retrouvé tout leur naturel face à la caméra et au micro. "Tableau noir et culottes courtes" n'est pas une émission sur les méthodes pédagogiques, ni sur le comportement des instituteurs. Elle est entièrement centrée sur les enfants eux-mêmes et sur les problèmes qu'ils vivent. Une succession de tableaux colorés des moments intimistes, affectifs, laborieux ou comiques qui apparaissent au cours d'une journée de classe. Jean-Pierre Grombeer et son équipe ont voulu montrer de façon globale en quoi l'accession à l'univers du signe, du symbole, de l'abstrait propre à l'adulte est un véritable travail pour l'enfant. Un véritable effort quotidien qui lui permettra d'accéder à l'écriture, à la lecture et au calcul, techniques de base de notre civilisation. Cela n'est pas donné naturellement et ne se fait pas sans mal. La moindre perturbation affective, la fatigue, l'effort prolongé, entravent ce travail important. Mais les adultes, les parents, en sont-ils conscients ? Se souviennent-ils de ces moments par lesquels ils sont passés ? Des images qui veulent nous rappeler, à chacun de nous, l'écolier qu'il a un jour été, afin qu'il regarde l'enfant d'aujourd'hui en n'oubliant pas l'enfant qu'il a été lui-aussi.
Les arts en liberté - Montre-moi ton académie
Emission réalisée en 1992. Qui fréquente les Académies d'art en Belgique ? Quels professeurs pour quels élèves ? Et puis, savez-vous ce qu'autrefois on entendait en demandant au modèle de montrer son académie ? Christian Bussy tente de répondre à ces quelques questions en nous amenant dans 3 académies : à Ixelles pour la sculpture, à Molenbeek pour la peinture, à Etterbeek pour le dessin... "Montrez-moi votre académie"! En d'autres temps avec d'autres mots, "déshabillez-vous"! Tombée en désuétude, cette acception du mot académie signifiait la "représentation peinte ou dessinée d'un modèle nu, servant d'exercice dans les académies de dessin ou formant des études préparatoires à l'exécution de tableaux achevés : Dessiner des académies ». Les Académies, ce sont avant tout les cours du soir, cinq jours par semaine, au long de cycles qui varient entre cinq et sept années ! Avec à la clef, un beau diplôme qui vous aura coûté une somme plutôt modique. Génial, non !? Bien entendu, dans les Académies d'art, il n'y a que des volontaires, de tous âges et de toutes conditions. En exagérant à peine, on peut dire que s'y côtoient BCBG et quart monde... Ce formidable brassage de populations rend les cours extrêmement vivants. A voir cette joyeuse effervescence dans les ateliers du soir, on est en droit de croire à la théorie des mondes parallèles. Car pour le plus grand nombre, dès que se termine la vie ordinaire -celle du bureau ou de la grisaille- commence alors la deuxième et véritable nouvelle vie. Celle où l'on se sent "légitimement" artiste. Les Académies donc, sous toutes leurs coutures, comme vous invite à les découvrir Christian Bussy. Avec en prime une visite à domicile dans l'atelier d'un professeur, puis chez un élève et enfin chez le modèle, dont l'étude attentive du corps reste la base de l'art éternel.
Toute la vie son image
Un film réalisé en 1981 à l'occasion d'un camp organisé par la Fédération des Jeunesse Musicales de la Communauté Française de Belgique, consacré à "l'éveil à l'expression". Des enfants regardent. Ecoutent. Les visages s'illuminent. Image de l'enfant derrière la caméra. L'oeil qui cherche à voir, autrement. Le son d'un instrument, timide. On émerge du bruit de fond, ou du silence. L'image s'imprime, le mouvement naît, spontané. L'enfant, qui est prêt à tout, découvre le son : calebasse, sonnaille, arc en bouche, des instruments qui font rêver. L'enfant, qui est naïf, invente des images nouvelles: son image, images et sons. Qu'est-ce que la musique? Qu'est-ce que l'image animée? Comment m'exprimer, autrement, par mon corps, par l'organisation des images et des sons et des deux, ensembles? Pourquoi se taire, parfois, pour mieux entendre les autres? Tout cela peut s'apprendre, s'expérimenter librement, dans la joie. Et, si l'on cherche à sortir de sa prison, c'est pour occuper l'espace et le temps, sans limites. Dans une ambiance de recherche où l'imagination régnait, des équipes ont travaillé de concert à l'éveil musical, à l'aide de techniques audio-visuelles, théâtrales, graphiques, d'expressions corporelles. Grâce au concours d'animateurs et de groupes étrangers, dont le mime québécois Claude Saint Denis, et l'équipe de la Galerie Sonore des Jeunesses Musicale de Frances, ils se sont initiés aux langages audio-visuels, et ont manipulé des centaines d'instruments musicaux extra-européens, surtout de percussion. Michel Jakar a fait oeuvre de création en transportant par l'image et les couleurs l'émerveillement des enfants, leur attention et leur participation aux différentes techniques musicales et artistiques.
16/10/1985
1985. "Cargo de nuit" est un magazine culturel d'un genre nouveau, émission phare des eighties, caractérisée par sa programmation et son point de vue "service public", d'esprit rock'n'roll, certes, mais où l'on abordait tous les genres (arts plastiques, théâtre, cinéma, BD...). On y parlait entre autres de gens que l'on ne voyait pas ailleurs et d'artistes encore inconnus du grand public mais dont beaucoup, par la suite, sont devenus célèbres. Au menu ce soir, Viktor Lazlo en studio, Interview de Julien Clerc par Gilles Verlant, reportage sur le tournage de Chantal Akerman "Golden Eighties" avec Lio, Delphine Delphine Seyrig et Charles Denner
23/10/1985
1985. "Cargo de nuit" est un magazine culturel d'un genre nouveau, émission phare des eighties, caractérisée par sa programmation et son point de vue "service public", d'esprit rock'n'roll, certes, mais où l'on abordait tous les genres (arts plastiques, théâtre, cinéma, BD...). On y parlait entre autres de gens que l'on ne voyait pas ailleurs et d'artistes encore inconnus du grand public mais dont beaucoup, par la suite, sont devenus célèbres. Avec entre autres, Jane Birkin en interview avec Philippe Reynaert chez elle nous parle de son enfance sur base de vieux films super 8, Vivien Savage chante "C'est qu'le vent" en studio, Nona Hendryx, In the Ginza chante "Casual feelings" en studio et l'inauguration des Halles de Schaerbeek.
Alphabétiquement vôtre n°5
1970. Emissions de variétés où nous verrons et entendrons: Robert Cogoi: "Mes souvenirs" Kiki: "L'agent secret" Jean-Marc Bertrand: "'Qui sait?" The Mertens Brothers: "Opus for two" Linda Kerby: "Lets call the whole thing off" Dupont et Pondu: "A la fenêtre" Tonia: "Je suis une terrienne" André Brasseur: "Mad train"
La roue du temps - Journée du patrimoine en Wallonie (1850-1950 - Un siècle d'histoire) et à Bruxelles (Art et architecture publics)
Emission réalisée en 1999. Architecture et patrimoine. L'architecture moderne de 1850 à 1950, tel était le thème des Journées du patrimoine en 1999 en Wallonie. Ce sujet passionnant, qui se déploie sur tout un siècle, ne saurait toutefois être dissocié de l'histoire sociale et économique qui a marqué cette période. Aussi, Jean-Marie Putmans a-t-il pris le parti délibéré de nous raconter les bouleversements successifs des mentalités et des conditions de vie qui ont émaillé cette époque et qui ont laissé une forte empreinte dans les beaux-arts en général et dans notre patrimoine architectural en particulier. L'air du temps se traduit donc dans la pierre ainsi qu'en témoignent, à Liège, le lycée Léonie de Waha, le pont de Fragnée, le quartier de Laveleye, la salle académique de l'université ou le mobilier de Serrurier-Bovy par exemple. Sont également représentatifs de la marque de la pensée collective dans l'architecture : le site du Grand-Hornu, la maison picarde de Mouscron, la maison Losseau à Mons, le Modern' Hôtel de Soignies, l'église du Christ-Ressuscité à Tubize, l'hôtel communal de Quaregnon... Et à Bruxelles, les Journées du patrimoine avaient pour thème l'art et l'architecture publics. Geneviève Thiriar et Fabienne Picq nous emmènent au théâtre du Vaudeville, situé dans les galeries Saint-Hubert, au parc royal, à la Haute École Francisco Ferrer - Charles Buls ainsi que dans la grande halle des abattoirs d'Anderlecht.
Les arts en liberté
Reportage réalisé en 1994. Pour le commun des mortels, l'Hôtel de Ville est un lieu où il convient de "faire la file" pour y inscrire les trois grandes heures d'une vie : la naissance, le mariage, le décès. Pour Christian Bussy, l'Hôtel de Ville est un monde étrange, insolite, secret. Ces immenses demeures sont aussi bien souvent des musées à part entière et constituent une infinité de salles d'exposition d'oeuvres d'art. Oeuvres d'art le plus souvent ignorées, cachées, hors d'atteinte du public. Le reportage de Christian Bussy ouvre des portes et non des moindres : ainsi celles des cabinets du Bourgmestre et des Echevins, véritables "écrins". A en croire l'expression "l'habit fait le moine" on peut se demander si "le cabinet ne fait l'échevin"! L'émission nous permettra de pénétrer dans les salles du Collège et du Conseil en pleine activité. Le choix de Christian Bussy s'est porté sur 3 Hôtels de ville en particulier : ceux de St Gilles, Schaerbeek et Bruxelles Ville et ce en raison de l'importance de leur construction et de la qualité exceptionnelle de leur patrimoine. Freddy Thielemans, échevin de la Culture, nous recevra à Bruxelles avec des propos libres, pertinents et impertinents. Albert Eylenbosch, Président du CPAS, sera notre cicérone à St Gilles et tentera de déchiffrer la forêt de symboles qui se cachent derrière les sculptures et les peintures murales du "Palais" bâti en 1906. Quant à Schaerbeek (1887, Jean-Pol Lozet, Directeur de la Maison des Arts, nous vantera le "trésor" de son Hôtel de Ville : ses boiseries et ses vitraux. Un parcours plein de surprises au sein de trois Hôtels de Ville prestigieux...
Ce pays est à vous - L'abbaye de Floreffe
Emission réalisée en 1973. Les bâtiments de l'ancienne abbaye de Floreffe, idéalement située sur une colline qui domine la Sambre, sont les mieux conservés du pays. Ils sont les plus caractéristiques de l'architecture du 18ème siècle, bien que la fondation de l'abbaye date de 1121. Visite de l'abbaye. Historique des bâtiments et de leur architecture (porte d'honneur, bibliothèque, galerie toscane, palais abbatiaux, l'église...)
Scailles d'Ardenne
1984. Ardenne: pays de forêt, d'eau et de pierres. Parmi beaucoup d'autres, une pierre donne son caractère au pays : le schiste. Des méthodes d'exploitation à l'ancienne, aux méthodes modernes en passant par l'utilisation traditionnelle de l'ardoise ... Matériaux nobles ... symbole de l'Ardenne!
Les arts en liberté - Les couleurs du Pays noir
Emission réalisée en 1994. O surprise : la ville de Charleroi et sa région ne sont pas celles que l'on imaginait ! Ni disgracieuses, ni entachées par ce qui fit jadis leur fortune : la révolution industrielle. Révolution dont on connaît les "vestiges": autant d'usines, d'aciéries, de verreries, de charbonnages qui forment le décor du "pays noir". Christian Bussy et son équipe n'ont ignoré en rien ce décor souvent qualifié de sinistre. Tout au contraire, ils y ont découvert le charme, sinon la magie des ruines, de l'abandon et de la désolation. Décor magnifié par les artistes "possédés" par leur région comme Pierre Paulus, Marcel Vintevogel, Max-Ernest Clart et Daniel Fauville. Mais le tissu du pays noir n'est pas fait que de ferrailles et de grisaille. Et puisqu'il y a les "châteaux de la Loire" pourquoi pas, tout compte fait, les "châteaux de la Sambre", avec les châteaux de Cartier et de Monceau ? Sans oublier les "grands espaces" comme l'Abbaye d'Aulne, Soleilmont et les promenades à cheval sur les terrils de la Docherie. Le Chemin de Croix de Marcel Wolfers à Saint Martin de Marcinelle est un des plus étonnants ensembles "Art Déco" qui soit; il renvoie à l'architecture "Art Nouveau" de plus d'une maison de... Charleroi ! Autant de facettes de l'arc-en-ciel des couleurs du pays noir!
Folklore - Val-Saint-Lambert - Les hommes du cristal
1983. Les cristalleries du Val-Saint-Lambert et ses ouvriers verriers à l'ouvrage. Découverte des différentes étapes de fabrication.
30/10/1985
1985. "Cargo de nuit" est un magazine culturel d'un genre nouveau, émission phare des eighties, caractérisée par sa programmation et son point de vue "service public", d'esprit rock'n'roll, certes, mais où l'on abordait tous les genres (arts plastiques, théâtre, cinéma, BD...). On y parlait entre autres de gens que l'on ne voyait pas ailleurs et d'artistes encore inconnus du grand public mais dont beaucoup, par la suite, sont devenus célèbres. Au menu ce soir, Suzanne Vega en studio chante "Cracking", Chris Isaak chante au bord du canal "I never let you go because i love you", Images du tournage "Golden eighties" de Chantal Akerman avec Lio, théâtre à l'Atelier Sainte Anne avec "La trilogie du revoir" mise en scène par Philippe Van Kessel et pour finir Dirk Blanchart.
