Les arts en liberté - Lisbonne la bleue
Emission réalisée en 1991 à l'occasion d'Europalia-Portugal.
Si l'on a pris l'habitude de surnommer "la blanche" la capitale lusitanienne,
Christian Bussy nous l'a plutôt colorée en bleue, telle en tout cas qu'elle lui est apparue au cœur de l'été. Son ciel, d'une limpidité azuréenne très très particulière introuvable ailleurs en Europe, et le bleu obsédant de ses célèbres azulejos, lui parurent des éléments suffisamment déterminants pour assaisonner de bleu sa ballade, très informelle, dans la Lisbonne populaire, rencontrée dans les quartiers de l'Alfama et du Bairro Alto.
S'attachant aussi à nous montrer surtout ce qu'Europalia n'a pas pu transporter en Belgique, Christian Bussy nous entraîne, par exemple, au Palacio Marques de
Fronteira, célèbre justement pour ses azulejos et une extravagance qui en font le palais idéal d'un facteur Cheval qui serait né au Portugal.
Autre découverte : celle de l'étrange Ajuda, l'ancien palais royal.
Plus classiques, le coup de flash porté sur la célèbre toile portugaise "Les Onze
Mille Vierges" du Musée d'art ancien, ou la visite des collections réunies par
"Monsieur cinq pourcent", alias Calliouste Gulbenkian, devenu richissime grâce au pétrole. Particulièrement remarquables, les sections relatives aux arts islamique et moderne, ainsi qu'aux bijoux de Lalique.
Une rencontre aussi, celle de l'écrivain et essayiste Antonio Alcado Baptista, fort réputé à Lisbonne.
Enfin, mise en exergue d'une initiative assurément originale. Des nobles portugais mettent désormais en location leur petits palais, ceci à l'intention des touristes étrangers, conviés ainsi à partager, dans un cadre choisi, la vie de famille des aristocrates !
Les arts en liberté - Lisbonne la bleue
Emission réalisée en 1991 à l'occasion d'Europalia-Portugal.
Si l'on a pris l'habitude de surnommer "la blanche" la capitale lusitanienne,
Christian Bussy nous l'a plutôt colorée en bleue, telle en tout cas qu'elle lui est apparue au cœur de l'été. Son ciel, d'une limpidité azuréenne très très particulière introuvable ailleurs en Europe, et le bleu obsédant de ses célèbres azulejos, lui parurent des éléments suffisamment déterminants pour assaisonner de bleu sa ballade, très informelle, dans la Lisbonne populaire, rencontrée dans les quartiers de l'Alfama et du Bairro Alto.
S'attachant aussi à nous montrer surtout ce qu'Europalia n'a pas pu transporter en Belgique, Christian Bussy nous entraîne, par exemple, au Palacio Marques de
Fronteira, célèbre justement pour ses azulejos et une extravagance qui en font le palais idéal d'un facteur Cheval qui serait né au Portugal.
Autre découverte : celle de l'étrange Ajuda, l'ancien palais royal.
Plus classiques, le coup de flash porté sur la célèbre toile portugaise "Les Onze
Mille Vierges" du Musée d'art ancien, ou la visite des collections réunies par
"Monsieur cinq pourcent", alias Calliouste Gulbenkian, devenu richissime grâce au pétrole. Particulièrement remarquables, les sections relatives aux arts islamique et moderne, ainsi qu'aux bijoux de Lalique.
Une rencontre aussi, celle de l'écrivain et essayiste Antonio Alcado Baptista, fort réputé à Lisbonne.
Enfin, mise en exergue d'une initiative assurément originale. Des nobles portugais mettent désormais en location leur petits palais, ceci à l'intention des touristes étrangers, conviés ainsi à partager, dans un cadre choisi, la vie de famille des aristocrates !