Festival international du rire de Rochefort (1984) - Spectacle des Charlots
1984. Spectacle des Charlots au Festival International du Rire de Rochefort en 1984. " Faire le Charlot ", en langage familier, on pourrait traduire par faire le fou, le dingue. Un sobriquet qui rend compte à merveille du registre comique du trio : la loufoquerie, le canular, la parodie. C'était déjà le ton de leur lère chanson, à l'époque où, à cinq, ils n'étaient qu'accompagnateur du chanteur Antoine. Ils avaient alors parodié une chanson de la vedette "Je dis importe quoi et je vis comme je veux" devenue sous leur langue acide "Chauffe Marcel". Un succès inespéré. « C'est là que tout a démarré » se rappelle Gérard Rinaldi, le "chef". Dès lors les tubes se succèdent. Pas dans la finesse, ni le second degré. Des refrains taillés à large coups de ciseaux dans la cotte du gros rire et de la bonne humeur, mais qui leur assure un incontestable succès public Leur popularité n'échappe pas aux avisés producteurs de cinéma. Ils tournent : "La grande Java" en 1969 et, coup de maître "Les Bidasses en folie " qui battra des records d'entrée au point de se retrouver 2ème succès public de toute l'histoire du cinéma français, après la "Grande Vadrouille". Aujourd'hui, ils se retrouvent à trois, Gérard Rinaldi, Jean Saurus et Gérard Filipelli. Ils ont renoué avec la chanson. Un tube à leur actif: "L'Apérobic". Et ils n'ont pas renoncé au cinéma. Ils y reviendront...Pour rire bien entendu.
Festival international du rire de Rochefort (1984) - Spectacle des Charlots
1984. Spectacle des Charlots au Festival International du Rire de Rochefort en 1984. " Faire le Charlot ", en langage familier, on pourrait traduire par faire le fou, le dingue. Un sobriquet qui rend compte à merveille du registre comique du trio : la loufoquerie, le canular, la parodie. C'était déjà le ton de leur lère chanson, à l'époque où, à cinq, ils n'étaient qu'accompagnateur du chanteur Antoine. Ils avaient alors parodié une chanson de la vedette "Je dis importe quoi et je vis comme je veux" devenue sous leur langue acide "Chauffe Marcel". Un succès inespéré. « C'est là que tout a démarré » se rappelle Gérard Rinaldi, le "chef". Dès lors les tubes se succèdent. Pas dans la finesse, ni le second degré. Des refrains taillés à large coups de ciseaux dans la cotte du gros rire et de la bonne humeur, mais qui leur assure un incontestable succès public Leur popularité n'échappe pas aux avisés producteurs de cinéma. Ils tournent : "La grande Java" en 1969 et, coup de maître "Les Bidasses en folie " qui battra des records d'entrée au point de se retrouver 2ème succès public de toute l'histoire du cinéma français, après la "Grande Vadrouille". Aujourd'hui, ils se retrouvent à trois, Gérard Rinaldi, Jean Saurus et Gérard Filipelli. Ils ont renoué avec la chanson. Un tube à leur actif: "L'Apérobic". Et ils n'ont pas renoncé au cinéma. Ils y reviendront...Pour rire bien entendu.