Le passé composé - Quand la Belgique était autrichienne - Les Belges au 18ème siècle
Emission réalisée en 1981.
2e volet d'une série de 3 émissions racontée face caméra par l'historien et journaliste belge Jo Gérard.
Cette fois, Jo Gérard s'attache surtout à la vie de nos compatriotes de l'époque. Une vie très différente de celle que nous connaissons. Petit exemple très anecdotique: au 18e, la pomme de terre agrémentait exclusivement les repas des snobs !
Et Jo Gérard d'évoquer les classes sociales du temps : le haut clergé et la noblesse sont assez satisfaits du régime autrichien, mais de jeunes avocats sans causes se refusent à suivre les idées du Siècle des Lumières. La classe paysanne pour sa part, ne connaît pas une situation très florissante.
A cette époque, le mouvement des idées se fait notamment grâce à de nombreux journaux, aussi bien "pour" que "contre" le régime, ce qui témoigne d'une relative liberté de parole et d'écriture.
A signaler que Marie-Thérèse fait appel a beaucoup de Belges pour diriger son empire, et, parmi eux, de nombreux généraux et stratèges. Certains Belges sont même un peu les éminences grises du pouvoir.
Mais l'arrivée de Joseph II (à la mort de Marie-Thérèse) créera bientôt une certaine panique, et notamment dans le haut clergé. Son manque manifeste de diplomatie sera l'une des causes de la prochaine révolution brabançonne...
Le passé composé - Quand la Belgique était autrichienne - Les Belges au 18ème siècle
Emission réalisée en 1981.
2e volet d'une série de 3 émissions racontée face caméra par l'historien et journaliste belge Jo Gérard.
Cette fois, Jo Gérard s'attache surtout à la vie de nos compatriotes de l'époque. Une vie très différente de celle que nous connaissons. Petit exemple très anecdotique: au 18e, la pomme de terre agrémentait exclusivement les repas des snobs !
Et Jo Gérard d'évoquer les classes sociales du temps : le haut clergé et la noblesse sont assez satisfaits du régime autrichien, mais de jeunes avocats sans causes se refusent à suivre les idées du Siècle des Lumières. La classe paysanne pour sa part, ne connaît pas une situation très florissante.
A cette époque, le mouvement des idées se fait notamment grâce à de nombreux journaux, aussi bien "pour" que "contre" le régime, ce qui témoigne d'une relative liberté de parole et d'écriture.
A signaler que Marie-Thérèse fait appel a beaucoup de Belges pour diriger son empire, et, parmi eux, de nombreux généraux et stratèges. Certains Belges sont même un peu les éminences grises du pouvoir.
Mais l'arrivée de Joseph II (à la mort de Marie-Thérèse) créera bientôt une certaine panique, et notamment dans le haut clergé. Son manque manifeste de diplomatie sera l'une des causes de la prochaine révolution brabançonne...