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Format 16/20 (28/04/1965)
Magazine de 1965, destiné à la jeunesse, avec des variétés et des reportages.
Au programme :
- Les Parisiennes chantent "On n'a vraiment plus rien à se mettre", "C'est tout de même malheureux qu'on ne puisse pas se promener tranquillement dans les rues après 9 heures du soir" et "L'oiseau rare".
- Jean Arnulf interprète "La complainte de Manda", "La Floride" et nous parle de ses collaborateurs. Il a d'abord été comédien puis a monté sa propre compagnie théâtrale. Il évoque les difficultés du métier de chanteur...
- Interview de Jacques Brel qui réagit notamment à l'étiquette qu'on lui colle comme de porte-drapeau de la jeunesse, de chanteur engagé. Il parle de ce qui le met en colère, de ce qu'il aime. De la tendresse qui manque. Il interprète ensuite plusieurs de ses chansons pour des étudiants : "Les vieux", "Les bonbons", Les bigotes", "Le plat pays", "Madeleine".
Et deux reportages :
- Reportage sur la jeunesse suédoise. Comment vivent les jeunes suédois ? La maison des jeunes est un vrai lieu de rencontres pour ces jeunes, de très nombreuses activités y sont organisés. La famille reste aussi une priorité chez les Suédois et repas un moment privilégié. Certains sont déjà au travail. En Suède, les jeunes sont très libres.
- Reportage consacré aux rapports parfois difficiles entre les jeunes ouvriers et les étudiants. Deux mondes différents qui communiquent peu. Comment la rencontre est-elle possible ? Le sport est-il le vecteur-clé ? L'accès aux études est-il réellement démocratique ? Parmi les ouvriers et les étudiants interviewés : Mamine Pirotte.
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