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Channel: RTBF Vidéo : archives sonuma
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La Bonne étoile (22/05/1983) Emission de variétés, enregistrée en public à Virton en 1983, présentée par Jean Vallée. Au programme : - Jean Vallée chante "Accroche-toi" et "Amoureux et divine" - Marie Laforêt chante "Y'a pas de raison" et "Comme un oiseau" - Mireile Darc parle de son dernier film et de ses projets - Freddy Machin chante "Ciao" - Serge Llado chante "La Mouff" et interprète le sketch "De Paris à Perpignan" - Fabienne Guyon chante "La la la" et en duo avec Mireille Darc : "Si elle te dit oui" - Danyel Gérard chante "Sulirane" et "Et je t'oublie" - Nicole Rieu chante "Palmiers peints" - Pierre Perret chante "Les coups au coeur", "Mon p'tit loup" et "Le zizi"

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Les Copains d'alors - François Walthery Emission réalisée en 1991. Dessinateur et scénariste, né voici 45 ans à Argenteau (entre Cheratte et Visé) en région liégeoise, François Walthéry, est l'heureux père de la série des bandes dessinées « Natacha ». Lorsqu'il était à l'armée, il avait une vieille copine d'adolescence à qui il envoyait des croquis. Plus tard, en 1970, il lançait cette Natacha à l'assaut des fans de B.D. Avec la réussite que l'on sait. Il s'est depuis toujours nourrit au crayon et à l'encre de chine. Même à l'école, il ne faisait que dessiner et crayonner. Une marotte que nous allons vérifier en compagnie de ses potes de 4ème moderne (1961-62) du Collège Saint-Lambert d'Herstal.

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L'Hebdo - Signé Franquin En janvier 1997, André Franquin, le plus célèbre dessinateur de Spirou mais aussi le créateur de Fantasio, du Marsupilami, de Modeste & Pompon et de Gaston Lagaffe (etc.) venait de nous quitter. Voici l''une des dernières (sinon la dernière) interview filmée de Franquin, réalisée par Hugues Dayez en novembre 1996, comptant ainsi parmi les rares images d'un homme discret et peu enclin à se livrer par caméra interposée. Où l'on pourra néanmoins vérifier qu'à 72 ans, le créateur de Gaston restait fidèle à l'image qu'il avait donné de sa création : un homme plein d'humour et de rires, certes, mais aussi terriblement exigeant avec son métier. Ce portrait, complété par le témoignage d'Yvan Delporte, de Morris, de Jidéhem, de Batem (dessinateur du Marsupilami) et de Roba (etc.), pose un regard 'impressionniste' sur un génial créateur en retraçant l'évolution de son style et de ses personnages, depuis le Spirou des années 50 jusqu'aux Idées Noires des années 80...

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TV Scolaire - Bruxelles a 1000 ans Emission réalisée en 1979, l'année ou Bruxelles fête ses 1000 ans. Il était une fois, une région marécageuse, sinistre, où bien peu de gens osaient s'aventurer. Il y a 1000 années, le territoire actuel de Bruxelles, c'était des marécages. Une rivière traversait ces marécages: La Senne, affluent de la Dyle, qui allait jouer un grand rôle dans la naissance et l'histoire d'une ville qui bien des années plus tard allait devenir Bruxelles. En 976, ce n'est encore qu'un hameau appelé Bruohsela ; l'habitation des marais. En 977, un Prince de France, Charles, reçoit le Comté d'Uccle ainsi que des terres marécageuses aux abords de la Senne où il fait construire un donjon ; véritable Castrum autour duquel très vite s'organise et se développe toute une vie ... sous la protection de l'archange Saint-Michel. Situé au croisement de routes très importantes, bruohsela devient rapidement un grand centre commercial en Europe et n'en finit pas de prospérer... Devenant Bruesele en 1107, Brouxelle en 1259, Brouckzele en 1302 et enfin Bruxelles en 1560 ! Toute une histoire...

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Oeuvres en chantier - Vie Privée - Marianne Berenhaut, 30 ans de sculpture Emission réalisée fin 2001. Depuis les années 70, Marianne Berenhaut récupère des objets de la vie quotidienne, et les réassortit dans des mises en scène d'une grande intensité dramatique ou comique, parfois les deux en même temps. Bien qu'elle n'aime pas cette appellation, elle crée des "installations", le terme passe-partout qui désigne la presque totalité des créations contemporaines en trois dimensions. Elle reconstruit, avec des objets récupérés ou des matériaux usagés, les fragments d'un monde que ses habitants ont quitté précipitamment, en abandonnant derrière eux des indices. Elle accumule des traces d'êtres arrachés à leur quotidien par quelque événement inexorable, et dont on sent la disparition irréversible; escarpins de femmes sur une mosaïque de vieux balatums; chaises entrechoquées d'une classe de maternelle, landau de nouveau-né, juché sur une échelle en forme de rail... Tout évoque une violence latente, l'impuissance tragique des êtres qui l'ont subie et des témoins qui s'interrogent sur elle, longtemps après. Ces associations d'objets familiers leur confèrent une aura, une intensité telles qu'ils en acquièrent presque une valeur d'êtres en souffrance comme si tout le pathos s'était réfugié dans ces modestes ustensiles, reliques de la vie perdue. Les sculptures appartiennent à des ensembles appelés poupées-poubelles, puis Vie privée. Depuis 1998, l'artiste fait appel à d'autres émotions, la sensualité, le jeu, la vie... Pour permettre le tournage du film, l'oeuvre de Marianne Berenhaut a été réunie sur plusieurs étages d'un ancien atelier industriel de la rue de l'Escaut, à Bruxelles. Plusieurs décennies de sculptures qui toutes, témoignent de façon indirecte des deux faces du XXe siècle, le progrès et la barbarie, la profusion et la convulsion. Une oeuvre très forte, peu connue, parfois dure... Tout le film exprime la vérité intérieure de l'artiste, ce qui l'a poussée à traduire dans son oeuvre la tragédie du XXe siècle, de façon secrète, allusive. Il converge vers la révélation finale de cette vérité cachée par l'artiste, qui accepte de se livrer parce qu'elle estime que pour elle, la page est tournée non pas sur la tragédie qui l'a frappée, collective et intime à la fois, mais sur la nécessité d'en témoigner par la sculpture.

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La Bonne étoile (05/06/1983) Emission de variétés, enregistrée depuis le studio 6 de la RTBF en 1983, présentée par Jean Vallée. Au programme : - Nana Mouskouri chante "Oublie que j'ai de la peine", "Je n'ai pas peur de mourir", "Droom droom", "Si j'étais perdue", "Je chante avec toi liberté" et en duo avec Jean Vallée : "La vague" - Ricchi e Poveri chantent "Piccolo amore" et "Mama Maria" - Jacques Hustin chante "P'tit Amour de Studio" et "Georgia" - L'humoriste André Valardy interprète deux sketches - Formule II chantent "Dou dou" - Jean Vallée chante "I Believe" - Ronnie Milsap chante "Strangers in my house" et "Watch out for the other guy"

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Les Copains d'alors - Viktor Lazlo Emission réalisée en 1991. Mère canadienne anglaise, père martiniquais d'origine indienne, Sonia, alias Viktor Lazlo, est née à Lorient, en 1960. Mais c'est en Belgique qu'elle passera son enfance, à Mol, où avait été engagé son père, un ingénieur militaire, parfait sosie d'Harry Belafonte. Le dessin d'abord, le violon dès ses 6 ans, Sonia-Viktor brisera cependant les rêves familiaux ...pour se retrouver quand même dans les arts-déco, à Paris, avant un retour en Belgique pour y suivre les cours d'une école de stylisme ... Sans enthousiasme! Jusqu'à ce que la chanson et le cinéma l'accaparent enfin avec le succès que l'on sait. Viktor Lazlo retrouve, ici, ses copines de la 3ème année secondaire 1973-74 de l'Ecole Européenne de Mol.

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Destination le monde (1991) - La Suisse a 700 ans Reportage réalisé en 1991. La Suisse aura 700 ans le 1er août 1991. Un modèle de démocratie pour l'Europe de demain ou un pays résolu à conserver sa neutralité? Le chancelier Fédéral Monsieur Flavio Cotti y répond. L'art permanent du consensus n'empêche pas les Suisses de s'interroger sur la solidité du pays: érosion du pouvoir d'achat, paradis fiscal en question, immigration nourrissent des inquiétudes que seules les traditions d'accueil et du tourisme parviennent à tempérer à la veille du septième centenaire.

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TV Scolaire - XXè siècle: quel style? Emission réalisée en 1980. La question que pose le titre est ingénue, ou si l'on veut, pédagogique. Ce n'est donc pas la réponse qui importera mais la démarche de la recherche. En nous demandant si le XXè siècle a "son" style - ainsi que l'on dégage un style XVIIè ou un style XVIIIè - deux questions apparaîtront en corollaire : - Qu'est-ce que le style ? - La notion même de ce qu'est un style est-elle la même de nos jours qu'aux époques passées? Avec la participation de Monsieur Charbonnier, Véra Molnar (artiste peintre hongroise vivant en France), Alain Louvier (compositeur français) et Roger Somville (peintre belge qui a réalisé la fresque "Notre temps" dans la station métro Hankar)

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Oeuvres en chantier - La marge de l'Architecte - Alain Richard Emission réalisée en 2000. "Oeuvres en chantier" nous propose une balade en Hesbaye liégeoise avec l'architecte Alain Richard. Diplômé de St Luc à Liège en 1982, il exerce ses talents dans les domaines aussi variés que la réhabilitation du patrimoine rural, la réalisation de logements, de commerces ou de bâtiments publics. Ce natif de Wihogne a fait de nombreuses publications, il a contribué à la restauration de la Halle aux viandes de Liège, il a participé à la conception du Musée des Arts Contemporains du Grand Hornu. Il enseigne à l'Institut Supérieur d'Architecture Saint Luc de Liège et dirige un atelier d'architecture. Dans ses maisons construites à Wihogne, Alain Richard réunifie les lieux de séjour en un seul grand volume éclairé de toutes parts par des baies et des saignées lumineuses. L'espace ouvert et accueillant peut se diviser grâce à un jeu de cloisons mobiles et coulissantes. Ainsi, au détour d'un couloir d'école garni de manteaux d'enfants, deux murs se mettent en mouvement silencieusement. L'un d'eux ferme et isole le couloir des bruits et des cris. L'autre en glissant, découvre un plan de travail et une bibliothèque où quelques gosses s'installent studieusement pour lire. Ailleurs, c'est une porte qui s'efface au profit d'un placard. L'espace construit s'anime, se dilate ou se rétrécit grâce à une mise en scène astucieuse et pleine d'humour. Dans ses intérieurs, Alain Richard réussit à équilibrer savamment les ombres et les lumières. Des baies immenses - jusqu'au plafond - permettent un échange total entre l'intérieur et l'extérieur. D'autres baies rectangulaires et étirées permettent de capter des paysages précis, les fins de journée et les couchers de soleil à l'horizon des fermes voisines. Le mariage des matériaux anciens et modernes, bois, briques, béton, acier, entraîne un alliage savoureux de formes modernes et de formes anciennes. Ses compositions se veulent respectueuses du passé rural, même si elles font la différence. Il y a volonté de dialogue et respect du territoire. Ses maisons s'implantent en cherchant à s'orienter vers les constructions voisines, pour entrer en résonance avec elles. Dès lors, Alain Richard ne décolère pas contre le gaspillage du territoire et le gâchis paysager que constituent la plupart des lotissements modernes. Des maisons construites le long des routes et alignées au cordeau, comme un mauvais décor. Il compare le village à une table de déjeuner : les tasses sont des maisons disposées ça et là et les éléments majeurs que sont la cafetière, un sucrier, un plat seraient une église, la maison communale, un commerce. Mais si on ne laisse que les tasses, il ne reste qu'un lotissement, triste et monotone... Pour lui, même s'il faut concevoir dans l'urgence, la poésie est plus importante que les affaires. Et trop souvent, l'architecture est réduite au fonctionnel, à l'économique et la création est repoussée dans la marge.

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Les copains d'alors - Paul Van Himst Emission réalisée en 1991. La carrière footballistique de Paul Van Himst est emplie de trophées divers, dont les moins prestigieux n'étaient certainement pas ceux qu'il récolta avec le sporting d'Anderlecht, non seulement en Belgique mais aussi sur la scène européenne. Soulier d'Or émérite du football belge, longtemps recordman des sélections dans notre équipe nationale, Paul Van Himst -Popaul - était un véritable artiste du ballon rond, à une époque où ses adversaires portaient les noms prestigieux de Pelé, Di Stefano, Beckenbauer. Pour "Les Copains d'Alors", Paul Van Himst retrouve les potaches de la 4ème Moderne A 1958/59 du Collège Saint-Nicolas d'Anderlecht.

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Les soviétiques - Alexandrov Agnaïev, pilote de ligne Les soviétiques: série de reportages qui constitue une expérience à part dans l'histoire de la télévision belge. Cette réalisation, entreprise en avril 1967 et terminée en septembre 1968, a nécessité des déplacements de l'ordre de 100.000 kilomètres dans l'immense territoire de l'Union Soviétique (de l'époque). Les périodes de tournage proprement dites ont été réparties au cours de 18 mois en fonction du climat et du caractère des différentes régions d'U.R.S.S. Elles totalisent une durée de 8 mois, soit une moyenne de 20 jours par sujet. L'équipe de la R.T.B. - qui se composait de Philippe Dasnoy, journaliste, Jean Antoine, réalisateur , Fernand Tack, cinéaste et Albert Rupf, opérateur du son - a travaillé de façon autonome et indépendante, tant pour le choix des sujets que pour leur réalisation. Elle a bénéficié de l'appui de la télévision soviétique pour l'organisation pratique du travail : moyens de transport, interprètes, autorisations spéciales et relations avec les autorités des différentes Républiques Fédérées. Les reportages filmés - en couleurs, pour les besoins de la distribution internationale - ont été tournés dans 17 villes d'Union Soviétique, réparties dans six républiques. En ce qui concerne le choix des sujets: le but poursuivi était de montrer la vie quotidienne en Union Soviétique, en évitant les sujets trop spécialisés, les situations exceptionnelles et les thèmes à sensation. Un instituteur, une actrice, un médecin, un ingénieur, un gymnaste, un directeur d'usine, un mannequin de mode, un militaire, un berger, une étudiante vétérinaire, un kolkhozien, un pope de l'Eglise Orthodoxe, un pilote de ligne, tels sont les personnages de cette fresque qui, dans l'ensemble, est bien représentative de la société soviétique à son niveau moyen, c'est à dire au niveau du plus grand nombre. Ces personnages sont russes, ukrainiens, arméniens, géorgiens, abkhazes, ouzbeks, bouriates, caréliens, tatars, kazaks, azebaïdjanais, ils s'expriment dans onze langues différentes et représentent trois générations, puisque le plus jeune a 18 ans, et le plus âgé 106 ans. Chacun de ces personnages nous permet de découvrir un monde différent, et chaque film est une pièce de l'immense puzzle qu'est l'Union Soviétique, de la mer Baltique à l'Asie Centrale et de l'Ukraine à la frontière mongole. Dans ce reportage: Alexandrov Agnaïev, pilote de ligne à Moscou Un pilote de ligne fait, chaque semaine, le trajet Moscou - Tokyo à bord de son Tupolev 114. Trois jours par-ci, trois jours par-là. C'est la rencontre de deux mondes bien différents et la vie d'un couple dont un partenaire rêve aux eaux grises de la Moskwa en sirotant une bière dans le tumulte de Ginza, tandis que l'autre rêve de luxe dans le conformisme calme de la vie moscovite.

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Destination le monde (1991) - La Bolivie Reportage réalisé en 1991. L'équipe de "Destination le Monde" s'est rendue dans la partie la plus haute de la Bolivie qu'on appelle l'Altiplano, à 4000 mètres d'altitude. La région la plus rude du pays, la plus peuplée également, principalement par des Indiens. Elle s'est attachée au passé de la Bolivie, à la civilisation inca, en partant des ruines de Teotihuacan. Mais aussi au présent et à l'avenir de la population indienne, répartie en deux ethnies. La première travaillant principalement dans les mines d'étain, la seconde cultivant la coca, cette herbe que les Indiens mâchonnent depuis toujours pour oublier la faim et les désagréments causés par l'altitude. Ceux qui cultivent la coca sont malheureusement de plus en plus sollicités par les trafiquants de drogue colombiens. Le gouvernement bolivien lance une campagne pour tenter de remplacer les cultures de coca par du café. Mais les paysans marquent leur désaccord, le café étant un substitut peu rentable. Francine Leunis et son équipe se sont aussi dirigés vers les bords du lac Titicaca où se pratique un artisanat ancestral de bateaux en roseaux (de la famille du RA II de Thor Heyerdahl).

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Les soviétiques - Arkadie Titchouk, archiprêtre à Vladimir 1969. Les soviétiques: série de reportages qui constitue une expérience à part dans l'histoire de la télévision belge. Cette réalisation, entreprise en avril 1967 et terminée en septembre 1968, a nécessité des déplacements de l'ordre de 100.000 kilomètres dans l'immense territoire de l'Union Soviétique (de l'époque). Les périodes de tournage proprement dites ont été réparties au cours de 18 mois en fonction du climat et du caractère des différentes régions d'U.R.S.S. Elles totalisent une durée de 8 mois, soit une moyenne de 20 jours par sujet. L'équipe de la R.T.B. - qui se composait de Philippe Dasnoy, journaliste, Jean Antoine, réalisateur , Fernand Tack, cinéaste et Albert Rupf, opérateur du son - a travaillé de façon autonome et indépendante, tant pour le choix des sujets que pour leur réalisation. Elle a bénéficié de l'appui de la télévision soviétique pour l'organisation pratique du travail : moyens de transport, interprètes, autorisations spéciales et relations avec les autorités des différentes Républiques Fédérées. Les reportages filmés - en couleurs, pour les besoins de la distribution internationale - ont été tournés dans 17 villes d'Union Soviétique, réparties dans six républiques. En ce qui concerne le choix des sujets: le but poursuivi était de montrer la vie quotidienne en Union Soviétique, en évitant les sujets trop spécialisés, les situations exceptionnelles et les thèmes à sensation. Un instituteur, une actrice, un médecin, un ingénieur, un gymnaste, un directeur d'usine, un mannequin de mode, un militaire, un berger, une étudiante vétérinaire, un kolkhozien, un pope de l'Eglise Orthodoxe, un pilote de ligne, tels sont les personnages de cette fresque qui, dans l'ensemble, est bien représentative de la société soviétique à son niveau moyen, c'est à dire au niveau du plus grand nombre. Ces personnages sont russes, ukrainiens, arméniens, géorgiens, abkhazes, ouzbeks, bouriates, caréliens, tatars, kazaks, azebaïdjanais, ils s'expriment dans onze langues différentes et représentent trois générations, puisque le plus jeune a 18 ans, et le plus âgé 106 ans. Chacun de ces personnages nous permet de découvrir un monde différent, et chaque film est une pièce de l'immense puzzle qu'est l'Union Soviétique, de la mer Baltique à l'Asie Centrale et de l'Ukraine à la frontière mongole. Dans ce reportage, Philippe Dasnoy et Jean Antoine aborderont, par le biais d'un exemple, le problème de la situation de l'Eglise orthodoxe en Union Soviétique. Arkadie Titchouk est prêtre à Vladimir-Souzdal, l'une des villes les plus prestigieuses de l'ancienne Russie. Au cours du reportage, nous verrons aussi bien des cérémonies comme celle qui marque la Saint Serge à Zagorsk, que les chefs d'oeuvre de l'architecture religieuse orthodoxe, et surtout les activités du prêtre au sein de sa paroisse.

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TV Scolaire - Anvers, métropole au XVIè siècle Emission réalisée en 1978. But de l'émission : - Montrer les diverses raisons du développement exceptionnel d'Anvers au XVIe siècle. - Comprendre que cette métropole économique fut aussi à l'avant-garde des idées intellectuelles et artistiques. - Admettre que des motifs à la fois politiques et religieux ont provoqué le départ des marchands étrangers et que la scission des Pays-Bas devait nécessairement étouffer le port d'Anvers.

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Oeuvres en chantier - Carnet de doutes - Juan d'Oultremont Emission réalisée en 1999. L'artiste plasticien, écrivain, auteur de chansons, homme de radio, alsificateur et fondateur de la société "Oui, mais votre vrai métier c'est quoi ?", Juan d'Oultremont lit des fragments d'un "Carnet de doutes" qu'il a rédigés pendant deux années. Au fil de petits textes humoristiques, autobiographiques, sur des thèmes aussi divers que l'art, le faux, la guerre 14-18 ou le chant des oiseaux, le doute s'installe, en sons et en images. Le mouvement artistique "Cissisme International" apparaît en 1975. Pour Juan d'Oultremont (né en 1954), cela revient à profiter cyniquement de la vague conceptuelle qui consiste à "faire comme l'artiste" plutôt que de "faire de l'art". Après avoir annoncé sa mort dans la presse, il pose comme acte initial la fondation de l'association "Les Amis de Juan d'Oultremont. ASBL", dédiée à la promotion de son oeuvre d'artiste inconnu qui n'a encore rien produit. L'association se propose de donner son nom à une rue, demande sa canonisation au Vatican et offre un peu de ses cendres à de nombreux musées d'art contemporain, tant en Europe qu'aux Etats Unis Cet art de la mythologie personnelle (mythomanie ?) ne pouvait entrer dans les annales de l'histoire de l'art autrement qu'avec un suffixe en -isme (lourdement connoté), suivi de l'adjectif -International; tel un label lui conférant une reconnaissance par anticipation. Dans un premier temps, le mouvement sert donc de présentoir à des pratiques essentiellement liées à la mort, la maladie, l'enfermement et, plus généralement, révèle cette contradiction qui consiste à faire un art dont le sujet essentiel est "l'impossibilité de faire de l'art". La même contradiction se retrouve dans l'ensemble des activités de Juan d'Oultremont : romanesque, théâtrale, plastique, musicale (certaines de ses chansons se sont inscrites en bonne place au hit-parade), professorale (il est professeur à l'ERG, Bruxelles), etc. Etre Cissiste revient pour lui à être partout où on ne l'attend pas, intervenir dans tous les arts à la fois et parler des difficultés de l'art : une sorte d'art total. Quant aux moyens et matériaux employés, les cissistes utilisent la récupération et le détournement d'objets (os, cages, badges, sacs en papier...) lors d'installations ou de performances et, pour garder un lien avec l'histoire de la peinture, recyclent des images d'un réalisme impersonnel issues d'anciennes performances. Le mouvement se veut multimédia, obsessionnel, répétitif, claustrophobique, falsificateur et fortement consommateur de colle à bois ! La pratique cissiste peut être comparée à l'usage ambigu du port de lunettes de soleil. S'agit-il de se protéger du regard d'autrui ou de protéger son propre regard ? Ainsi des lunettes noires de Jacqueline Kennedy ou de Michel Polnareff qui, ayant perdu leur fonction protectrice anti-UV, finissent par représenter la quintessence d'un signe de reconnaissance (personne ne les reconnaîtrait s'ils décidaient de ne plus en porter !).

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La bonne étoile (17/01/1985) Emission de variétés, enregistrée en public depuis Woluwé Saint-Pierre en 1985, présentée par Jean Vallée. Au programme : - Catherine Lara chante "Espionne et "Flamenrock" - Joseph Reynaerts chante "Idées vagues" - Marianne Mille chante "Passion fatale" et en duo avec Jean Vallée : "Mourir de plaisir" de Michel Sardou - Jean Vallée chante "Noir ou blanc" et "Noblesse oblige" - Jean-Jacques Goldman chante "Américain" et "Nous ne nous parlerons pas" - L'humoriste Jean-Claude Poirot interprète des sketches - Sacha Distel chante "Toi et moi ça ressemble à l'amour", "Je t'appelle pour dire que je t'aime" et "Ma femme".

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Les copains d'alors - Julos Beaucarne Emission réalisée en 1992. Le plus Wallon des chanteurs wallons retrouve ses condisciples de la rhétorique de latin-grec 1953-1954 du Collège Saint-Vincent de Soignies. Natif d'Ecaussinnes, à deux pas de là, Julos était alors déjà -de l'avis de ses amis de l'adolescence- un joyeux vagabond et un compagnon très gai. Passionné de scoutisme, il aimait la vie au grand air et aussi les longues promenades solitaires dans la nature. S'il n'écrivait pas encore de chansons, il jouait déjà de la guitare et animait volontiers des veillées entre copains. C'est ainsi que Julos Beaucarne a, sans coup férir, bâti son "petit royaume sans majordome".

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Destination le monde (1991) - Le Népal Reportage réalisé en 1991. Un portrait de la vie népalaise, avec ses coutumes et ses religions (l'hindouisme, la principale, et le bouddhisme). Un pays qui vit à 90% de son agriculture, qui a vu sa monarchie absolue détrônée en 1990 à la suite de violentes émeutes. Un pays qui vient d'accéder à la démocratie mais qui doit apprendre à vivre autrement, car les anciennes mentalités sont incrustées dans les esprits depuis des générations. La condition de la femme, par exemple, est effrayante. 60% d'entre elles (sur 18.000 habitants) sont analphabètes, n'ayant pas accès à l'école et aucun droit politique. Mariées dès l'âge de 13 ans, elles épousent un "mari" qu'elles n'ont pas choisi et sont vouées à une vie d'esclave dans leur belle famille. Francine Leunis et son équipe ont également filmé une petite fille de 5 ans considérée comme une déesse vivante. Elue par les prêtres du temple, elle vivra jusqu'à la puberté (le sang la souillera à jamais) comme une recluse. Interdiction pour elle de fréquenter l'école ou de jouer dans une cours de récréation. En échange, les fidèles viendront chaque jour l'honorer... Autre séquence, également, à Talkot dans un monastère bouddhiste où le héros est un petit garçon de 9 ans qui, malgré son jeune âge, est devenu le chef de la communauté. Il est considéré par celle-ci comme la réincarnation de chef précédent. Nous verrons aussi, dans le reportage, comment l'UNICEF a aidé à remettre sur pied une industrie de papier; celle-ci sert désormais à l'impression des cartes vendues au profit de cet organisme d'aide humanitaire.

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TV Scolaire - Constant Permeke 1966. Léon Rémy tente de nous faire découvrir l'oeuvre de Constant Permeke ainsi que l'homme. Peintre et sculpteur belge, né à Anvers le 31 juillet 1886 et décédé à Ostende le 4 janvier 1952, il est considéré comme un représentant majeur de l'expressionnisme flamand, L'artiste veut communiquer avec les autres hommes, et l'image qu'il trace est faite de signes. Le spectateur qui voit ces images doit pouvoir lire le secret communiqué par l'artiste. Les moyens de cette lecture : 1. Le contact avec les oeuvres réelles ; la visite du Musée de Jabbeke; 2. Lecture attentive et la recherche des thèmes essentiels; 3. Les moyens plastiques utilisés par Permeke. Les thèmes : Permeke, comme tout artiste obéissant à des impératifs intérieurs, choisit certains éléments du monde réel; ceux-ci sont adaptés à ses penchants comme à ses desseins. Ainsi s'imposent à lui, intuitivement, plusieurs thèmes: - la mer: immense, agitée et dans sa mouvance l'artiste écrit les signes de sa lutte contre le destin implacable; - la terre : sa terre, espace infini de ciel et de plaine mais où l'homme lutte avec le cosmos qui lui échappe; - l'homme : seul, déformé, agrandi, témoin de la lutte de l'artiste contre les puissances aveugles. On remarque spécialement les déformations: l'expression ne dépend plus de la nature de l'objet peint mais de la façon dont l'artiste utilise les signes plastiques. Les formes amplifiées visent à traduire un sentiment et plus encore à le faire violemment ressentir au spectateur.
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