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En toutes lettres - Françoise Mallet-Joris
Emission réalisée en 1991. Fille du ministre d'Etat belge Albert Lilar et de la romancière Suzanne Lilar, Francoise Mallet-Joris a commencé à écrire à l'âge de 9 ans, avant même de se demander si elle avait une vocation particulière. Pour elle, l'écriture était à ce moment-là une façon d'échapper à cette période d'enfermement qu'était la guerre, une manière de vaincre la terreur des bombardements. L'écriture représentait aussi une compensation (maladive, Francoise Mallet-Joris occupait ainsi ses journées de convalescence), elle était aussi une occasion d'exploiter son humour. Mais ce goût de l'écriture s'est rapidement transformé en remède pour combattre une grande difficulté à communiquer avec les autres. Evocation de cet écrivain franco-belge : son enfance anversoise, sa vie d'écrivain, de mère de famille, sa conversion à la religion catholique ... Elle avait quinze ans quand elle publia ses premiers poèmes. Son premier roman, "Le rempart des béguines" (1951) abordant un cas extrême, dégageait un léger parfum de scandale, bien involontaire d'ailleurs. Dans "La chambre rouge", quatre ans plus tard, elle faisait encore preuve de cette même audace qui la poussait à suggérer les rapports humains, en dessinant, en quelques lignes, ses personnages avec une psychologie très sûre. Vint ensuite "Cordelia", un recueil de nouvelles, suivi d'un autre roman, d'allure balzacienne, "Les mensonges" (prix des libraires en 1956). Le prix "Femina" couronna, deux ans plus tard, "L'empire céleste". Dans "Lettres à moi-même", elle nous relate son propre itinéraire vers la conversion. Deux essais, "Marie Mancini" et "Les signes et les prodiges", et un roman "Trois âges de la nuit" (1968) jalonnent son itinéraire. La publication de "La maison de papier", en 1970, coïncide avec son entrée à l'Académie Goncourt. Son roman, "Dickie-Roi", a fait l'objet d'une adaptation pour le petit écran. La musique était signée Marie-Paule Belle dont l'écrivain a bien souvent été le parolier. Francoise Mallet-Joris n'est pas une féministe militante, mais elle a toujours suivi avec lucidité l'évolution de la femme, sa psychologie et ses aspirations, en observatrice sensible et impartiale. A l'époque du reportage, la romancière venait de mettre en équation le syndrome de la balance, ou l'obsession féminine de la minceur, dans un roman publie chez Flammarion : "Divine". En collaboration avec la Sonuma.
Ecritures - 16/02/1983
Quel est le rôle des femmes dans l'Histoire ? C'est l'une des questions posées par Jean-Marie Mersch à la journaliste, écrivaine et femme politique française Françoise Giroud. Cet entretien est réalisé au moment de la parution de son roman "Le bon plaisir".
Féminin-Présent du 28/09/1969
La femme, peut et doit avoir du charme en toutes circonstances, même lorsqu'elle exécute les tâches ménagères. Une jolie salopette pour les travaux de peinture, un magnifique cache-poussière à jupe-culotte pour le ménage ou une robe pour le jardinage.
L'Omenscope du 18/05/1969
Rita Renoir a 33 ans, est divorcée, ne veut pas d'enfant et n'a pas peur de vieillir. Sortie de l'école à 14 ans, elle débute sa carrière de strip-teaseuse à l'âge de 16 ans, un métier avec lequel elle fera toute sa culture du spectacle et sa culture musicale. Désormais comédienne, elle nous parle ici des bourgeois du XVIème arrondissement, d'amour, des hommes, de la beauté...
L'orchestre rouge (Die rote Kapelle) - Chapitre II: Le grand jeu
1975. A Paris, chez un dentiste de la rue de Rivoli, Jean Gilbert, alias Trepper, est arrêté en novembre 1942. II est emmené à la prison de Fresnes, puis loge dans une villa de Neuilly. Pour l'interroger, des personnages aussi considérables que "Gestapo-Muller" viennent tout exprès de Berlin. Dix mois plus tard, en septembre 1943, Trepper parviendra à s'échapper, de manière rocambolesque, dans une pharmacie près de la gare Saint-Lazare. Que s'est-il passé, pendant 10 mois, entre Trepper et ses geôliers allemands ? ... Des questions qui seront posées, à la manière d'une enquête policière, dans cette seconde partie de l'émission intitulée "Le Grand Jeu". Trepper a-t-il trahi ses plus proches collaborateurs, acceptéde faire croire à Moscou qu'il était libre et transmis des informations destinées à intoxiquer l'Union Soviétique ? Au contraire, Trepper est-il parvenu à mystifier la Gestapo ? Vous entendrez les témoignages, outre celui du chef de l'Orchestre Rouge qui réfute toutes les accusations portées contre lui, d'Hans Kaltenhauser, officier de l'Abwehr; d'André Moyen, membre du 2è bureau belge, qui enquêta sur l'Orchestre Rouge; de Claude Spaak, écrivain qui a connu Trepper dans la Résistance; de L. Chertok, ancien résistant français qui connut Trepper dans la clandestinité; de Madame Pauriol résistante française; de Maître Lederman, avocat et membre du Parti Communiste Français et de Madame Katz, la veuve du principal collaborateur de Trepper qui accompagnait le chef chez son dentiste.
Il était une fois la télé - Jazz pour tous Ella Fitzgerald (1957)
1957. Voici lun concert de Ella Fitzgerald en 1957 au Palais de Beaux-Arts de Bruxelles. Ella Fitzgerald interprète : "Angel eyes", "Lullaby of birdland", "Love for sale", "Tenderly", "April in Paris", "One of those things", "I got the guy", "I can't give you anything but love", "Air Mail Special", "It don't mean a thing (if it ain't got that swing)" ; Norman Granz dit quelques mots à la fin du concert.
Faits divers - Viens dans ma ville, viens dans ma rue
Reportage de 1977. Une mosaïque structurée autour d'un quartier de Molenbeek, dans l'agglomération bruxelloise. Un quartier populaire, à très forte densité de travailleurs immigrés... Un quartier éventré par les travaux du métro qui poussent les riverains dans leurs dernières limites nerveuses et qui acculent les petits commerçants à la faillite... Une école professionnelle où échouent le rebut de l'enseignement primaire et où le professeur François Parents, se bat pour que ces enfants ne deviennent pas juste de "bons" ouvriers. Un poète marocain de 16 ans qui crie son aspiration au bonheur... Et Roberto, émule d'Elvis Presley, qui exprime dans ses "rocks" la révolte, et aussi l'espoir de ce quartier où il ne fait pas bon vivre. "Viens dans ma ville, viens dans ma rue...", c'est un puzzle que chacun reconstituera aisément pour lui donner sa dimension. "Viens dans ma ville, viens dans ma rue...", c'est un puzzle que chacun reconstituera aisément pour lui donner sa dimension.
Extrait de Henri Seghers et son orchestre
L'orchestre Henri Segers interprète "Stella by starlight", "Swingin'", "Summertime" et "Blues concerto".
Avec : Etienne Vershueren, Christian Van Spauwen, Constant Letellier, Albert Godfrinne, José Paessens, Marcel de Bruyne, Johnny Renard, Nicolas Fisette, Herman Sandy, Frans Van Dyck, Albert Brinkhuisen, Jo De Muynck, Jo Van Wetter,Roger Van Haverbeke, Phillipe de Cae, Sadi.
TV Scolaire - Approches du cinéma - Pierre Etaix ou le comique à l'écran
René Michelems s'entretient avec Pierre Etaix, comédien et réalisateur français de cinéma. Né le 23 novembre 1928, cet homme aux talents multiples, a déjà pratiqué des tas de métiers tant dans la peinture, que dans la musique, le music-hall, le cirque (clown, mime, manipulateur). Au cinéma, c'est un des rares réalisateurs français à nous proposer une denrée si précieuse qu'on appelle le rire et en plus sous une forme bien à lui, très visuelle. Il nous parle du rire, du comique, de la construction d'un gag, de sa chorégraphie, sa progression, sa surprise, et aussi de sa cruauté, de son aspect de critique social, son côté satirique... Le comique se fabrique, le gag se bâtit toujours à partir d'une réalité et ne s'improvise pas. On ne rattrape pas un film comique au montage. La bande sonore a aussi une place importante dans ses films. Il refuse le dialogue sinon celui purement utilitaire mais par contre le bruitage est fondamental. Bref le comique est une chose sérieuse qui nécessite un spectateur complice ... Extraits de films dont "LE GRAND AMOUR", "YOYO" et "TANT QU'ON A LA SANTE".
Face au Public du 11/05/1965
En février 1965, Chuck Berry enregistre un "récital" pour la R.T.B. : l'auteur de "Memphis Tennessee" interprète ses tubes, dont "Maybelline", "Things I used to do" ou encore "Roll over Beethoven", popularisé par les Beatles…
Folllies du 14/02/1981
Le 10 févirer 1981, U2 est en concert à Bruxelles au Beursschouwburg. Gilles Verlant a fait la rencontre de Bono, le jeune chanteur, juste avant que le groupe ne monte sur scène. A l’époque ils viennent de sortir leur 1er album, « Boy ». Découvrez en live : "Another time, another place", "The Electric Co", "Stories for boys", "Twilight" et "11 O'clock tick tock". Le groupe flamand De Kreuners assure la première partie du concert.
Pop Shop du 01/02/1973
Concert en studio du groupe Genesis (Tony Banks, Peter Gabirel, Michael Rutherford, Phil Collins et Steve Hackett). Ils interprètent "The fountain of salmacis”, "Twilight", "Musical Box", "The return of the giant hogweed”.
Pop Shop du 04/02/1971
Dans l'histoire du rock, Black Sabbath est considéré comme le pionnier du métal. En 1970, les caméras de la RTB filment le groupe britannique en concert, dans sa formation originale. Ils interprètent : "Paranoid", "Hand of doom", "Iron Man", "Black Sabbath", "N.I.B.", "Behind the wall of sleep", "War pigs" et "Fairies wear boots".
(Boucle de nuit)
"Ce jour là", le 29 mai 1985, la tragédie du Heysel, un des drames (39 morts et 600 blessés) les plus marquants lié à une manifestation sportive et due au hooliganisme. Faut-il rappeler que le match qui s'est joué alors, opposait la Juventus de Turin au football club de Liverpool ? Beaucoup d'émotions et beaucoup de questions.
Traits... Portrait - Didier Comès
Un reportage de 1987. Dans son village natal en Fagnes, Didier Comès, auteur belge de bandes dessinées, parle de sa fascination pour les masques et la sorcellerie, la guerre et les cimetières mais aussi les arbres et les oiseaux. A l'époque, ce dessinateur régionaliste était à l'aube d'une belle carrière et venait de publier "La belette", deuxième grand récit pré-publié dans A Suivre, après "Silence". Didier Comès est né le 11 décembre 1942 et décédé le 7 mars 2013.
Face au public - Guy Bedos et Sophie Daumier
1967. Spectacle à Bruxelles de Guy Bedos et Sophie Daumier qui interprètent des sketches aussi bien à deux que chacun séparément. Sketches: Guy Bedos et Sophie Daumier descendant d'avion. Bedos, policier "Rimbot". Sophie Daumier, n°2 du tennis féminin. Bedos parodiant un chanteur yé-yé. Couple écoutant l'Adagio d'Albinoni. Bedos, jockey. Daumier, star italienne du cinéma. Bedos pompier Daumier, chanteuse. Bedos, écrivain en interview. Bedos et Daumier, corses.
Extrait de Count Basie à Charleroi
Emission de 1961. Jazz pour tous fête ses 8 ans de radio et sa première année de diffusion en TV. Pour l'occasion, nous découvrirons Nicolas Dor et Jean-Marie Peterken qui nous présenterons l'émission depuis les studios de Liège. Ils ont choisit de nous montrer quelques morceaux du concert de l'orchestre de Count Basie qui a eu lieu au Palais des Beaux-Arts de Charleroi. Les grands "leaders" noirs du jazz ont leurs lettres de noblesse. Si Ellington est généralement appelé "Duke", William Count Basie se voit habituellement attribuer le titre de "Count", quand ce n'est le nom glorieux de "Jump King"! Né en 1906, ce vétéran du jazz se vit consacrer dès 1937. Son succès ne s'est jamais démenti. D'abord obscur petit pianiste à Kansas City, Missouri, Count Basie s'arrangea bientôt, pour former un orchestre, que son dynamisme, son caractère enjoué, sa générosité intrépide maintinrent uni, durant les moments difficiles du début. Depuis, le Count a si bien fait son chemin qu'il représente le plus efficacement ce "Kansas City style" que son orchestre contribua tant à faire connaître : style vif, heurté, puissamment rythmique, et faisant une grande place à la percussion. Chef modeste, mais d'un magnétisme envoûtant, "Count" quand il dirige, n'a qu'à faire un petit geste de la main ou un signe de tête, pour déclencher un changement d'harmonies ou une cascade de thèmes nouveaux. Toujours prêt à s'effacer devant ses vibrants solistes, c'est pourtant lui qui, par sa façon nette, claire, presque sèche de traiter le piano, leur inspire leur manière intensément rythmique, trépidante et sans bavures. En collaboration avec la Sonuma.
Forts en Tête - 14/12/1999
Steve Houben évoque le trio de jazz Bobby Jaspar, Jacques Peltzer et André Thomas.
Ce pays est à vous - La forêt de Soignes
Emission réalisée en 1971. Des actes de vandalisme ont récemment troublé la tranquillité du Rouge-Cloître, près de Bruxelles. Partant de ce fait divers, Christian Huart et Michel Lémeret nous proposeront, tout d'abord, de découvrir ce même Rouge-Cloître, centre en quelque sorte de la Forêt de Soignes. Ils nous brosseront rapidement l'historique de celle-ci et nous enjoindront, ensuite, à la visiter en leur compagnie. Le problème de sa conservation sera évidemment envisagé, ceci avec le concours du Département des Eaux et Forêts, de la Ligue des Amis de la Forêt de Soignes, et du Comité d'Action et de Défense de la Forêt de Soignes. Notre périple au grand air se terminera par une promenade au Bois de la Cambre, symbole de la nécessité d'espaces verts dans la ville. Un Bois qui n'a en fait plus été géré depuis 1864 : des arbres trop vieux doivent être abattus ! Ici, un autre problème sera également évoqué : celui de la spéculation des espaces boisés autour de Bruxelles en vue de la création de lotissements.
Le Monde du cinéma - Cannes
1987. Le Festival de Cannes fêtait cette année là le 40ème anniversaire de sa fondation. Sélim Sasson débarqua pour la première fois sur la Croisette en 1967. Un rapide calcul et vous constaterez que c'était pour lui aussi un anniversaire. S'il a tenu dès le titre à personnaliser son émission, c'est pour bien faire apparaître que quels que puissent être les documents présentés ailleurs (pour ce 40è anniversaire), vous ne verrez ici que des images, vous n'entendrez que des interviews glanées par la R.T.B.F. et dont plusieurs peuvent être considérées comme d'authentiques scoops. Vous serez peut-être émus de retrouver certaines séquences qui vous ont ravis en leur temps, étonnés d'en découvrir d'autres qui vous avaient échappés. De toute manière, Sélim Sasson s'est ingénié à faire souffler le froid et le chaud, le bouleversant et l'amusant, le très ancien et le très récent. Vous retrouverez par exemple, Jean Marais disant un poème de Cocteau couché sur le sable, Rubinstein parlant du film qu'il avait fait avec François Reichenbach, Truffaut participant à la contestation en 68, Romy Schneider évoquant le bonheur qu'elle avait éprouvé à tourner avec Orson Welles, Yves Montand faisant la conversation tandis qu'il s'achemine vers la première de "Z", Claudia Cardinale dans les coulisses du gala de clôture qu'elle va présenter, Patrick Dewaere expliquant que bien des gens lui apparaissent comme se sentant mal dans leur peau, Rossellini démontrant qu'il a eu raison de faire sauter certains prix, Jane Fonda avouant qu'après la guerre du Vietnam, elle a traversé une période difficile dans sa carrière, Jane Birkin plaidant admirablement en faveur du film de Doillon "La Pirate", Sergio Leone affrontant la presse venue accueillir le film qu'il a mis dix ans à réaliser, David Carradine se présentant la guitare à la main à la conférence de presse de Hal Ashby, le reporter de la R.T.B.F. faisant face seul à la verve de tous les Monty Python réunis et Roberto Benigni accusant la Belgique d'avoir ruiné le cinéma italien... ( ce qui jusqu'à ce jour n'a bien sûr pas encore été démontré).
En toutes lettres - Françoise Mallet-Joris
Emission réalisée en 1991. Fille du ministre d'Etat belge Albert Lilar et de la romancière Suzanne Lilar, Francoise Mallet-Joris a commencé à écrire à l'âge de 9 ans, avant même de se demander si elle avait une vocation particulière. Pour elle, l'écriture était à ce moment-là une façon d'échapper à cette période d'enfermement qu'était la guerre, une manière de vaincre la terreur des bombardements. L'écriture représentait aussi une compensation (maladive, Francoise Mallet-Joris occupait ainsi ses journées de convalescence), elle était aussi une occasion d'exploiter son humour. Mais ce goût de l'écriture s'est rapidement transformé en remède pour combattre une grande difficulté à communiquer avec les autres. Evocation de cet écrivain franco-belge : son enfance anversoise, sa vie d'écrivain, de mère de famille, sa conversion à la religion catholique ... Elle avait quinze ans quand elle publia ses premiers poèmes. Son premier roman, "Le rempart des béguines" (1951) abordant un cas extrême, dégageait un léger parfum de scandale, bien involontaire d'ailleurs. Dans "La chambre rouge", quatre ans plus tard, elle faisait encore preuve de cette même audace qui la poussait à suggérer les rapports humains, en dessinant, en quelques lignes, ses personnages avec une psychologie très sûre. Vint ensuite "Cordelia", un recueil de nouvelles, suivi d'un autre roman, d'allure balzacienne, "Les mensonges" (prix des libraires en 1956). Le prix "Femina" couronna, deux ans plus tard, "L'empire céleste". Dans "Lettres à moi-même", elle nous relate son propre itinéraire vers la conversion. Deux essais, "Marie Mancini" et "Les signes et les prodiges", et un roman "Trois âges de la nuit" (1968) jalonnent son itinéraire. La publication de "La maison de papier", en 1970, coïncide avec son entrée à l'Académie Goncourt. Son roman, "Dickie-Roi", a fait l'objet d'une adaptation pour le petit écran. La musique était signée Marie-Paule Belle dont l'écrivain a bien souvent été le parolier. Francoise Mallet-Joris n'est pas une féministe militante, mais elle a toujours suivi avec lucidité l'évolution de la femme, sa psychologie et ses aspirations, en observatrice sensible et impartiale. A l'époque du reportage, la romancière venait de mettre en équation le syndrome de la balance, ou l'obsession féminine de la minceur, dans un roman publie chez Flammarion : "Divine". En collaboration avec la Sonuma.